Hommage à Mme Gabrielle Laramée

Transportée et retenue dans un hôpital de la région pendant près de 3 mois contre son gré sans jugement, avec des médicaments qu'elle n'avait jamais eu (Detrol, laxatifs et plusieurs autres dont le Séroquel (plus d'informations en cliquant sur le lien)) sans tenir compte des effets secondaires importants malgré plusieurs avertissements de sa famille comme des maux de coeurs, perte d'appétit et laissée dans un corridor froid ou elle a contracté une bronchite importante et forcée ensuite à résider dans un centre CHSLD dans une chambre ou sa colocataire parlait et chantait presque tout le temps pendant près d'un an, puis transférée dans un autre centre en septembre 2013 son état à commencer à se dégrader (malgré une mise en demeure ignorée) vivant d'anxiété et gardée pour des raisons injustifiées alors qu'elle voulait retourner chez elle et qu'un jugement pour sa captivité avait prit fin depuis le 19 juillet 2013 on continuait à la garder en mettant d'autres médicaments, on l'a épuisée, elle devenait de plus en plus inapte comme je l'avait prédit et je les avaient demander de cesser ses doses, ils répondirent que je n'étais pas curateur à la personne (explications possibles plus tard). Pendant près de 2 mois, elle n'avait plus la force d'appeler, pour finalement a recommencer après qu'ils se soient rendu compte de son état...

Mme Laramée S'Exprime - Diaporama (4 minutes)	Mme Laramée Se Sent Prisonnière - Diaporama (5 minutes)

Vue sa détresse morale, physique et psychologique son fils Pierre se rendait la visiter à tous les jours et régulièrement avec ses amis (Carole B., Monique C., Lyne C., Pierre (Pedro), Pierre M., Janette S. et Louis P.). Il profitait de l'occasion pour la faire manger et lui montrer des émissions télévisuels tel que Moi Et L'Autre, Les Arpents Verts, Les Joyeux Naufragés, M. Bean et aimait par dessus tout des chansons de Noël comme le Minuit Chrétien, elle l'appelait près de 12 fois par jours et répondait tout le temps, elle ne refusait jamais de revoir ses souvenirs.

Aussi son fils lui montrait des vidéos de l'époque de leurs vacances avec la roulotte et des souvenirs de famille ou elle pouvait voir et entendre son mari parler et cela la veille même de sa faiblesse qui l'a entraîné vers la mort 14 jours après un léger infarctus et des diagnostic erronés alors qu'on l'avait traité pour :

On Empêche Son Fils D'Appeler Une Ambulance Pendant 3 Jours

Jour 1 (dimanche le 1er juin 2014)
Semblait consciente et inconsciente. Elle avait les yeux ouverts et bougeait légèrement.
- on fait un diagnostique fait par téléphone.
- on en déduit qu'elle faisait une bronchite ou une pneumonie (on lui prescrit des antibiotiques).
- le médecin traitant (imposé et non choisi par la famille ne se rend pas) ni aucun autre malgré l'insistance de son fils

Son fils Pierre demande d'appeler une ambulance de toute urgence voyant sa condition, malgré ses cartes de compétence (plus d'informations en cliquant sur le lien) qu'il avait acquises comme préposé aux soins, carte de la croix rouge pour cardio respiratoire et carte d'aidant naturelle.

On lui refuse prétextant que c'est le curateur public qui s'occupe d'elle et un infirmier responsable le menace que s'il en appelle une qu'ils la retourneront et qu'il devra payer la facture, il appelle son avocat sans succès malgré une entente en cas d'urgence.

Jour 2 (lundi le 2 juin 2014)
- on diagnostique une infection urinaire (change encore son antibiotique).

Son fils insiste et demande une autre fois d'appeler une ambulance, on lui refuse encore, il appelle son avocat et le rejoint.

Jour 3 (le mardi 3 juin 2014)
- autre diagnostique insuffisance rénale, elle l'avait déjà et est sans gravité selon une infirmière (on change encore son antibiotique).

Son fils demande encore une ambulance et on refuse, menace encore de la retourner si il en appelle une.

On a finalement décidé de l'emmener à l'urgence de l'hôpital de sa région après plus de 3 jours de négociations entre avocats et suite à l'insistance de son fils Pierre et cela seulement vers 16 heures. Il lui avait fait boire 1 verre de liquide de gelé de canneberge sans problème pour la renforcir alors que le centre ne réussissais pas, il l'a accompagné et attendu près de 6 heures à l'urgence, sa mère était très calme et ne souffrait pas.

Le médecin de l'urgence a diagnostiqué un infarctus au myocarde, elle peut décéder ou revenir à elle a-t-il dit, je ne vois aussi aucune objection qu'elle retourne chez elle en soins palliatifs.

On a refusé et retourné au centre d'hébergement par une chaleur torride malgré tous les efforts de son fils de la ramener chez elle situé à 2 coins de rue du centre, il était environ 23 heures 30, il a demandé à une infirmière de lui donner à manger et elle lui a répondu qu'il était trop tard à cette heure là.

Elle a vécu pendant plus de 14 jours, elle a communiqué plusieurs fois afin de vouloir manger, plusieurs témoins et affidavit pour confirmer dont un n'a pas été vu ayant été fait dernièrement.

Le centre d'hébergement a malgré tout prétendu en cours le 13 juin 2014 qu'elle ne s'alimentait plus, ils ont abrégé sa vie même alors qu'une injonction provisoire (plus d'informations en cliquant sur le lien) le 10 juin 2014 fut ordonnée pour lui donner un soluté.

Des témoins sont prêts à venir témoigner que Mme Laramée essayait de demander de manger et de boire à plusieurs reprises, on lui a donner des médicaments qui l'ont endormie...

Par ailleurs, aucun médecin ne s'est présenté à son chevet pendant plus de 3 jours. On a empêché son fils de l'emmener dans un hôpital en urgence prétextant que c'était le curatel à la personne qui décidait alors qu'elle avait fait un infarctus au myocarde (plus d'informations en cliquant sur le lien) pendant plus de 14 jours. Tel que mentionné dans cet extrait :

Le malade doit être évacué le plus vite possible vers une structure hospitalière. On s'est acharné à faire l'inverse...